ÉDITO

La disparition de Françoise Branger à l’âge de 56 ans nous a tous profondément éprouvés. Responsable de l’association Bassin d’Arcachon Écologie depuis des décennies, très grande connaisseuse de la biodiversité, elle n’avait pas hésité à s’engager aux côtés de l’ASSA dans plusieurs dossiers épineux, avec succès.

Sa personnalité singulière, solaire et visionnaire lui a valu grande estime et reconnaissance de la part de tous ceux qui ont perçu, depuis une trentaine d’années, qu’avoir sacrifié 40 % de la biodiversité en un siècle est gravissime, et que le morceau de Gironde qui fait notre bonheur quotidien ne pourra pas supporter impunément tant de tumulte et d’assauts.

Les incendies de juillet 2022 restent gravés dans nos souvenirs, marquent notre présent et conditionnent notre futur.

Le drame que nous avons vécu, l’évacuation de certains quartiers de La Teste, les plaies du site sinistré, l’exigence d’une meilleure prévention, la nécessité de moyens nouveaux, la reviviscence de la Forêt Usagère, la récurrence des phénomènes de canicule et de sécheresse, nous invitent à changer de regard sur notre manière de vivre, sur nos forêts, sur nos arbres, sur la nature.

L’ASSA s’est efforcée de faire sa part en levant des dons au profit des pompiers de Gironde, lesquels ont  chaleureusement  remercié    par     notre intermédiaire les nombreux généreux donateurs. Les différentes essences qui embellissent notre patrimoine architectural arcachonnais méritent tous les égards, à l’heure où beaucoup tentent de sacrifier discrètement leurs arbres, généralement pour des raisons « égocentrées », alors qu’il s’agit d’un Bien commun inestimable.

L’ASSA ne cesse d’échanger avec la municipalité pour que les règles en la matière soient mieux respectées et pour que le couvert végétal soit renouvelé et densifié par des essences adaptées.

L’initiative  municipale de subventionner la végétalisation des clôtures sur rue est à saluer.

En matière d’urbanisme, l’activité de notre organisation reste soutenue : le sort de la Villa Salesse dont l’épilogue judiciaire n’est pas encore connu, la modification du cahier des charges du lotissement du Parc Pereire contestée devant le Tribunal administratif, l’appropriation par la commune de parcelles arborées au sein du Parc Pereire dans des conditions que l’ASSA fait examiner judiciairement, l’avenir du Musée Océanographique de « Peyneau », l’édification d’une construction sur l’Allée des Arbousiers, et la démolition-reconstruction si controversée de « l’Hôtel « Les Vagues » soumise à l’examen du Conseil d’État.

Alors qu’à l’habitude, nous administrons nous- mêmes nos contentieux devant les juridictions administratives, nous avons été contraints de mandater un avocat, puis un avocat aux Conseils, pour ce qui concerne nos demandes d’annulation du permis de reconstruire l’Hôtel Les Vagues et de suspension des travaux.

Cette suspension, refusée par le juge des référés, a fait l’objet d’un pourvoi en cassation devant le Conseil d’État, lequel devrait rendre sa décision dans quelques mois.

Le Conseil d’administration tient à remercier très vivement tous ceux qui ont bien voulu soutenir les actions de l’ASSA par un don défiscalisable.

Sans cet exceptionnel élan associatif, nous n’aurions pas pu nous engager dans de pareilles procédures dont la finalité consiste à préserver la cohérence architecturale traditionnelle du front de mer, ainsi que les perspectives et paysages.

L’ASSA assure un suivi régulier des autorisations d’urbanisme, et synthétise chaque mois en Conseil d’administration, l’ensemble des informations fournies par les associations membres, soit l’APRSM (Moulleau), le SASSEC (Quartier de la Chapelle), le Val des Abatilles et George VI.

Nous assurons également une veille et un suivi relatifs au Bruit, dont souffrent de plus en plus les administrés et estivants.

Nous demandons à la municipalité de prendre des mesures fortes en ce qui concerne les locations précaires (souvent sources de nuisances) et le surtourisme en général.

Nous sommes attentifs à la prochaine rédaction du nouveau Schéma de Cohérence Territoriale (SCOT), et aux effets de la loi « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN).

Nous sollicitons la création de Sites Patrimoniaux Remarquables (SPR), seul outil juridique permettant de préserver l’architecture traditionnelle identitaire de la Ville d’Arcachon.

Nos échanges avec la Société Historique sont toujours constructifs et fructueux.

Les visites organisées par Francis Hannoyer dans les différents quartiers de la ville rencontrent un vif succès.

La vie de l’ASSA est intense, à la hauteur des compétences et de la détermination des membres du Conseil et des enjeux auxquels elle se trouve confrontée.

Dans ce contexte, le soutien de nos adhérents est plus que jamais déterminant.

Nous aurons prochainement le plaisir de pouvoir échanger à l’occasion de notre Assemblée générale du 24 juillet à 10h30, Salle des Réservoirs.

D’ici-là, je vous souhaite un très bel été arcachonnais.

Jacques STORELLI, Président

ENJEUX PATRIMONIAUX
Les incendies de juillet 2022

Les incendies massifs qui ont ravagé la Gironde en juillet 2022 ont ravivé le souvenir du “grand feu” meurtrier de l’été 1949. Parti de Saucats le 19 août 1949, cet incendie avait fait 82 victimes et ravagé 50 000 hectares de forêts.

Si Arcachon n’a pas été évacué en juillet 2022, ce fut in extremis, en raison d’un changement du sens du vent…

Et s’il n’y a pas eu de victimes, c’est principalement grâce à l’engagement et au courage des pompiers qui ont fait un travail extraordinaire.

De nombreux adhérents ASSA ont exprimé leur gratitude par l’envoi de dons aux Pompiers de Gironde et aux pupilles des Pompiers de France, lesquels nous ont vivement remerciés pour nos initiatives.

Le 4 mai dernier, la CEBA, Coordination Environnement du Bassin d’Arcachon, à laquelle adhère l’ASSA, a fait condamner l’État à respecter ses engagements en matière de Plans de Prévention des Incendies de Forêts (PPRIF), en l’occurrence à Lège Cap-Ferret.

Il se trouve qu’il n’existe pas de PPRIF à La Teste, tout comme dans six autres communes sur les dix situées autour du Bassin d’Arcachon, alors que l’État les avait pourtant prescrits, en vain, il y a plus de 15 ans…

La circulation thermique avait été maintenue lors de l’été 2022, en dépit de demandes de suspension adressées aux services de l’État, eu égard à la canicule et au stress hydrique de la Forêt Usagère en particulier.

Ces manquements seront examinés le moment venu par la justice à la suite de différentes plaintes pénales, dont celle de la CEBA.

Les coupes sanitaires seront achevées en fin d’année, et de nombreuses mesures de prévention s’imposent : moyens terrestres et aériens, PPRIF, Obligation Légale de Débroussaillement (OLD)… Si les titulaires de cabanes en Forêt Usagère se voient refuser toute autorisation de reconstruction, ce n’est pas le cas des campings dont certains bénéficient de largesses ministérielles et autres subventions pour augmenter encore la surface de leurs implantations, piscines comprises, alors que certaines étaient irrégulières et soumises à destruction sous astreintes.

Pareilles atteintes au Site classé en covisibilité de la Dune et de ses visiteurs s’entendent difficilement, dans un secteur sinistré dénué de tout couvert végétal.

La délocalisation des campings aurait dû être immédiatement mise en œuvre à la suite de l’incendie, ainsi que l’exclusion de toutes les reconstructions-extensions, condamnées à terme en raison du recul de la Dune et de l’absence de couvert végétal.

La justice examinera prochainement la validité juridique des autorisations ministérielles et autres permis d’aménager.

L’essentiel est bien entendu de permettre à la Forêt Usagère de reprendre son souffle et de se reconstituer, ce qui exige un temps long, très long…

Jacques STORELLI Président

Le scolyte (sténographe du pin), les incendies et l’OLD

Constat

Ce problème chronique présente une aggravation récente et rapide.

Les incendies de 2022 ont surajouté un facteur important. Le scolyte adulte transperce l’écorce et développe ses larves juste en-dessous, bloquant la circulation de la sève et provoquant la mort végétale en quelques semaines par assèchement.

Certains sujets sains luttent par une stratégie d’isolement avec production d’une substance orangée de sève et gomme solidifiée, parfois visible à la surface des troncs. Les signes débutants sont caractérisés par l’apparition sur l’écorce de trous arrondis inférieurs à 3 mm de diamètre et la présence de sciure jaunâtre collectée au pied de l’arbre. Le décollement de l’écorce laisse entrevoir le dessin des galeries caractéristiques sur les deux faces de contact.

La prolifération non maîtrisée de ces xylophages habituels et utiles des bois morts ou affaiblis étend les attaques aux bois sains de proximité. C’est en raison de ce phénomène que la Forêt Usagère a dû faire l’objet dans des délais courts d’abattages massifs et de débardage des bois atteints par l’incendie.

Récemment ont été observés des dégâts significatifs au sein du Domaine de la Dune, géré par la Ville de Bordeaux.

Il n’existe pas de traitements chimiques. Les pièges à phéromones sont seulement utilisés à des fins de surveillance et de comptage.

Les facteurs généraux de cette décompensation sont en rapport avec les déséquilibres climatiques en température et précipitations :

* La diminution de résistance des arbres est le plus souvent liée au stress hydrique.

* Le rythme des pontes et envols est passé de deux à trois fois par an depuis l’élévation des températures.

Les ennemis naturels

Dans un milieu forestier en bon état (par exemple la Forêt Usagère), un équilibre est constitué par autorégulation grâce à de nombreuses espèces du type, coléoptères, mouches, guêpes, punaises, acariens, champignons, nématodes, larves prédatrices et pic-verts.

Encore faut-il s’assurer de la présence d’une biodiversité suffisamment riche et variée, seul vecteur d’une réelle prévention efficace.

Les mesures à prendre

* La tenue d’une cartographie spécifique des zones infestées serait souhaitable pour la surveillance, comme en 2009 à la suite des tempêtes ; elle n’est pas réalisée à ce jour.

Il appartient notamment à l’ONF, en charge de la

gestion des bois communaux, de réaliser ce suivi.

* La coupe des arbres malades et l’élimination rapide des billots et des rémanents vivants qui doivent être incinérés, sinon broyés sur place.

Ces travaux, prescrits sur recommandation préfectorale du 28 avril 2023, devaient être exécutés selon un calendrier précis, permettant d’agir avant les périodes d’envol, soit impérativement avant le 15 juin.

Au-delà, l’effet de ces travaux est contre-productif, puisqu’ils tendent à éradiquer les ennemis naturels du scolyte, dont les cycles de ponte sont plus tardifs. Il faudra alors reporter tous les travaux de coupe à l’hiver suivant.

* Les coupes rases doivent être encadrées pour éviter un effet d’aubaine sur la préhension végétale que pourraient exploiter certains intérêts privés ou publics, comme on a pu l’observer lors de nettoyages “ largement préventifs” constatés après les incendies de 2022.

L’obligation de nettoyer les secteurs incendiés et celle dite “Légale de Débrousaillement” (OLD), constituent pour certains deux opportunités de pouvoir impunément tout abattre et préparer le terrain (sans jeu de mot), pour artificialiser demain et commercialiser.

Vincent MERLAUT

LA VIE DES QUARTIERS

La Ville d’Hiver

Clôtures en Ville d’hiver

Comme la végétation, les portails et les clôtures jouent un rôle fondamental pour la qualité du paysage urbain, encore plus en Ville d’hiver que dans d’autres quartiers d’Arcachon. Ce sont ces éléments qui peuvent donner son unité à la rue et au quartier alors que les villas qu’ils protègent sont d’une grande variété. Presque toujours basse et transparente, la clôture arcachonnaise favorise la convivialité. Elle permet aux promeneurs d’admirer les jardins et les villas dont les propriétaires sont souvent très fiers.

L’évolution dans le temps des portails et des clôtures de Ville d’hiver symbolise bien le changement de type d’occupation du site. A l’origine, il fallait se soumettre à l’espace paysager et les clôtures en bois, les arceaux de métal ou les haies vives étaient alors quasiment symboliques. Voici ce que disait vers 1865 le cahier des charges que tout propriétaire de Ville d’hiver devait signer : « les terrains seront tous clôturés en fer ou en bois corroyé d’un mètre vingt centimètres de hauteur ou bien en haies vives à feuilles persistantes, et ces haies seront toujours taillées et entretenues avec soin. Les clôtures entre propriétaires seront faites sur la ligne séparative qui servira d’axe, soit en fer ou en clôture dite de la Gironde, soit en haies vives et feuilles persistantes, taillées et entretenues avec soin et frais communs. »

Ensuite, ce seront de véritables ouvrages de métal qui viendront clôturer les nouvelles résidences privées en cultivant particulièrement l’art des forgerons.

Aujourd’hui, l’urbanisme paysager de la Ville d’hiver est mis à mal et l’on voit apparaître des clôtures pour le moins banales et souvent opaques. Certaines font plus penser à un quartier pavillonnaire de banlieue qu’à un quartier résidentiel historique inscrit au patrimoine de la Gironde. Et il y a des clôtures partiellement détruites et laissées à l’abandon. Ou des végétations non entretenues et envahissantes qui empiètent sur la voirie, gênant la circulation des piétons sur le trottoir et limitant la nuit l’éclairage des réverbères.

Mais il y a aussi de belles réalisations comme on peut le voir, notamment, allée Faust où, sur une centaine de mètres, les clôtures de trois villas anciennes récemment rénovées sont harmonisées, ce qui donne à l’ensemble une belle cohérence.

La Charte paysagère qui fait partie du PLU d’Arcachon spécifie diverses mesures pour la construction des clôtures et la lutte contre leur opacification. Elle précise : « La préservation des valeurs paysagères fragiles passe par un retour à la transparence visuelle en interdisant les clôtures opaques ». C’est ainsi que les clôtures doivent être ajourées sur au moins 50% de leur surface et ne pas dépasser 1,20 mètre en hauteur. Divers exemples sont même proposés aux administrés par le service de l’Urbanisme.

Mais ces spécifications sont-elles vraiment suivies d’effet ? Comme le dit la Charte paysagère, c’est à une « brigade environnementale » qu’il appartient d’assurer le contrôle. Composée selon les textes d’environ cinq agents et placée sous l’autorité de la Police municipale, cette brigade « est notamment chargée de relever les infractions au cadre de vie et à l’environnement et d’assurer, par sa présence sur le terrain, des actions de prévention et de contrôle ». Elle a été créée en 2006. Existe-t-elle toujours ? Est-elle toujours opérationnelle ?

L’Assa s’attache à signaler à la municipalité les irrégularités les plus flagrantes.

Dominique CHEVALLIER

Le SASSEC – Syndicat Arcachonnais pour la Sauvegarde du Site et de l’Environnement de La Chapelle

Historique

C’est l’entreprise Gaume qui, dans les années 1970, en achetant 2 parcelles mitoyennes en front de mer avec pour projet d’y construire un immeuble, a forcé l’union de riverains puis la constitution d’une association de défense du Site avec à sa tête Monsieur Teyssonneau.

Aujourd’hui le SASSEC compte 91 adhérents ; il est présidé par Jean-Marc Thomas .

L’objectif du SASSEC est d’exercer une veille de proximité, régulière et minutieuse, dans un esprit de concertation.

Le SASSEC a à son actif d’avoir :

  • – été associé à la reconstruction de la Jetée des Marins /La Chapelle.
  • – participé activement en association avec l’ASSA et BAE à la préservation de la dune allée Gaffé.
  • – évité des coloris « improbables » sur plusieurs immeubles…

Hôtel Les Vagues

Suite au changement de propriétaire de la parcelle St Joseph, nous attendons avec un très grand intérêt le permis modificatif qui est susceptible d’avoir un impact direct sur les parcelles des 5bis et 5 du boulevard de l’Océan.

Un don 3000 euros a été effectué par le SASSEC en soutien aux actions de l’ASSA.

Des adhérents du SASSEC ont, par ailleurs, fait des dons.

Nous exerçons une surveillance très rapprochée du chantier de l’hôtel Les Vagues.

Circulation

L’avenue Ste Marie est en double sens avec un stationnement des 2 côtés de la chaussée : la circulation y est très compliquée en période estivale.

Le SASSEC travaille sur des solutions pour la désengorger.

Une diminution de la vitesse est à l’étude : 30 km à l’heure sur l’axe boulevard de la Plage ( à partir de Legallais) – boulevard de l’Océan (jusqu’à Pereire) et l’allée La Chapelle, en priorité.

Maison de Quartier

Suite à la rénovation de la maison de Quartier, allée La Chapelle, les services postaux ont été supprimés.

Même situation dans toutes les autres maisons de quartier sauf celle de l’Aiguillon qui est équipée d’un automate.

Notre objectif est de proposer à La Poste, en partenariat avec la mairie, l’installation d’un automate comme celui de l’Aiguillon qui permet d’affranchir courriers simples, recommandés, colis, d’effectuer la plupart des prestations dont nous sommes privés.

Stationnements payants

Le Boulevard de la Plage et le Boulevard de l’Océan (De Legallais à Pereire) sont payants.

Du 1er avril au 30 septembre (6 mois) : mise en œuvre le 1er juillet 2023.

Notre objectif est d’obtenir :

Une réduction de la durée de la période payante du 1er juillet au 31 août, soit 2 mois au lieu des 6 imposés par la Mairie.

Pour les intervenants extérieurs, résidents hors Arcachon mais justifiant d’un certificat de travail fourni par le riverain-employeur, la possibilité d’accéder aux abonnements et/ou macarons.

Pour les familles des riverains l’accès aux abonnements et/ou macarons avec une attestation sur l’honneur de filiation et le justificatif de domicile du propriétaire.

Jetée des Marins – La Chapelle

Depuis la reconstruction de la jetée des Marins – La Chapelle l’accostage est difficile, très difficile avec un peu de mer, voire dangereux : très peu de bateaux accostent.

Cela est d’autant plus regrettable que :

  • – La jetée La Chapelle est officiellement la seule qui autorise l’embarquement de passagers sur des bateaux d’agréments : toute activité commerciale est interdite.
  • – Il est interdit et passible d’amende de s’échouer sur la plage pour embarquer des passagers (beaching).
  • Ce point a été à plusieurs reprises signalé aux services concernés de la Mairie sans que rien ne change.
  • Nous avons en projet d’organiser un embarquement /débarquement avec les services de la mairie concernés et un huissier sous la conduite d’un de nos adhérents afin d’obtenir le constat de l’impossibilité d’accoster en sécurité.

Aménagements – Hygiène – Entretien

Pose d’un miroir à l’angle du boulevard de l’Océan et l’avenue Ste Marie.

Réfection des trottoirs de l’avenue Ste Marie et du boulevard de l’Océan, côté opposé à la piste cyclable.

Installation de poubelles supplémentaires. Installation de toilettes publiques à Joigny. Entretien des passages menant à la plage.

Plus de panneaux interdisant les chiens sur la plage et de distributeurs de sachets

Marie-Pierre PRAT

Les Abatilles

Notre Comité organise le samedi 22 juillet la fête de la Sainte Anne dans le Parc de la Source des Abatilles, au 157 bd de la Côte d’Argent.

Huîtres :

A prendre à un peu avant midi dans la barque de l’écailler Bidart.

Pique-nique géant

A l’heure du déjeuner, vous pourrez vous installer avec votre panier aux tables à votre disposition.

Paëlla

Le soir, nous vous proposons une maxi-paella, cuisinée pour vous par la Casa Pepe,

Buvette

De 9h à la fin de la soirée, nous vous proposerons café, boissons fraîches.

Soirée dansante

Un DJ animera toute cette journée et le soir, vous proposera de finir la Fête sur la piste de danse.

Vide-greniers

Il aura lieu, de 9h à 17h, sur le parking devant le bâtiment administratif.

Plusieurs de nos adhérents nous ont fait part de leurs préoccupations devant le nombre croissant de clôtures opaques non conformes à la charte paysagère ainsi que sur l’abattage clandestin de pins.

Nous avons donc dressé une liste que nous avons présentée au service de l’urbanisme. Au cours de cet entretien, nous avons pu constater que ce problème était connu du service.

Notre interlocuteur nous a annoncé qu’une action amiable allait être lancée. Nous sommes convenus de nous revoir fin septembre afin de suivre l’avancement de la procédure. D’autre part, nous avons évoqué le problème des abattages sauvages. Le problème est là plus compliqué puisqu’il nous a été confirmé qu’aucune obligation de publicité de l’autorisation n’était obligatoire. Il va donc falloir réfléchir sur les actions à mener pour pouvoir rendre l’affichage de cette autorisation obligatoire.

Jean-Marc OFFANT

Association Georges VI

Notre bureau s’est réuni en début d’année 2023 pour mettre en place une pétition que nous avons distribué en février/mars concernant les soucis de cohabitation piétons, vélos, voitures dans nos 3 rues, Avenue Victoria, George VI et Nathanael Johnston.

Ce sujet est récurrent depuis des années et pose des questions de sécurité tels que l’accès des services d’urgence et de secours en période estivale, la sécurité des piétons, le passage des éboueurs, l’accès à nos maisons, etc… ; nous avons donc décidé de nous grouper pour interpeller les élus. Notre pétition a recueilli 34 signatures et a été remise à M le Maire.

Un courrier daté du 25 mai nous a été retourné nous indiquant que la problématique avait été enregistrée et que la municipalité reviendrait vers nous avec des solutions à l’étude.

Une construction neuve doit être réalisée sur une propriété de l’avenue George VI, les voisins et notre association avons été informés du projet en amont du dépôt du PC. Le projet prend en compte le maintien des arbres présents sur la parcelle et respecte les grandes lignes du cahier des charges du lotissement du Parc de la Villa Balsamo.

Notre AG s’est tenue vendredi 16 juin à 14h au MAAT. Nous sommes 26 membres avec une bonne répartition sur nos 3 rues.

Nos engagements ne changent pas.

Nous veillons à ce que nous tous, voisins, en résidence secondaire ou principale, plus jeunes ou plus âgés se parlent, s’écoutent et se respectent. Nous nous efforçons de porter à connaissance de nos élus les questions qui nous tiennent à cœur pour la préservation de notre quartier ; comme le maintien de la végétation, l’équilibre à trouver entre densité de construction et tranquillité du voisinage, la propreté, le calme…

Notre repas de quartier annuel a été organisé le 16 juin au soir dans un de nos jardins et a permis à une quarantaine de personnes de partager un moment convivial. L’an prochain nous proposons de reconduire l’événement en changeant le lieu, rendant cette occasion festive, itinérante et unique.

Carole MASSE

PROCHAINES VISITES PATRIMONIALES

Les prochaines visites sont prévues les samedi 16 et le dimanche 17 septembre à 14h30 pour les Journées Européennes du Patrimoine. Organisées avec la Société Historique (SHAAPB) elles permettront de découvrir le patrimoine du Moulleau et complèteront le guide de visite dont la parution aura eu lieu en juillet de cette année. Nous vous en parlerons prochainement.

ASSA – Association de sauvegarde du site d’Arcachon MA.AT 
Esplanade Georges Pompidou
33120 Arcachon
Courriel : contactassa33120@gmail.com

N°23 – juillet 2023